La présente étude permet de répondre aux objectifs fixés par la Branche. Elle se donne pour objectifs de définir le marché actuel des Systèmes Embarqués, ses enjeux et ses perspectives d’évolution, de cartographier les acteurs, cerner leur rôle et leur positionnement tout au long du cycle de vie des Systèmes Embarqués et enfin de comprendre les métiers existants, détecter les compétences nécessaires et évaluer la maîtrise de ces compétences par les salariés.

Avec plus de 1.000 manifestations par an sur le territoire, le secteur des Foires, Salons, Congrès est un marché important, estimé à près de 3 milliards d’euros en France. Le secteur s’est aujourd’hui doté d’une filière de formation dense, couvrant de Bac +2 à Bac +5. Peu connues des entreprises, elles forment tout de même près de 2.000 étudiants par an. Ces formations doivent aujourd’hui se faire reconnaître des entreprises et écouter leurs besoins pour y répondre au mieux.

1.266 entreprises ont été interrogées lors d’une enquête téléphonique pour garantir la représentativité des données au niveau Branche et sectoriel. Selon la taille de l’entreprise, le directeur général, le directeur des ressources humaines ou un responsable RH a été interrogé.

Cette étude a pour objectifs d’une part de repérer les besoins induits par le Cloud computing et le Big data, et d’autre part de cartographier l’offre de formation spécialisée sur le Cloud computing et le Big data. Cloud : une opportunité pour les clients, un bouleversement des modes de travail pour la branche. Big data : une révolution pour les clients, une opportunité pour la branche.

La Branche du Numérique, de l’Ingénierie, des Études et Conseil et de l’Événement compte près de 60 000 entreprises et 760 000 salariés, soit environ 4,3% de l’emploi salarié en France dans le secteur privé. Vous trouverez ici les tendances du marché de l’emploi et en formation ainsi que les dynamiques métiers.

Une étude déclenchée face au constat d'une féminisation durablement trop faible dans ces métiers. Elle a pour objectifs d’une part d’identifier les raisons de la faible attractivité et les facteurs qui influencent l’orientation (ou non) des jeunes vers les filières susceptibles de mener aux métiers de la branche et d’autre part d’identifier les bonnes pratiques pour favoriser l’orientation des jeunes filles vers ces secteurs et métiers.